Quand j’écris un post, vous croyez que je ressemble à ça ?
Ben non. Et pas seulement parce que physiquement je me rapproche de plus en plus de ça
Non, quand j’écris, mais aussi quand je cuisine, range ou entreprend quelque tache que ce soit à la maison, je me retrouve projetée dans le monde fabuleux du multitasking quasi instantanément, par la grâce de mes merveilleux enfants. Vous qui n’avez pas de mouflets, vous pensez que vous serez encore capable de faire des choses chez vous sans les avoir dans les pattes ?
Naïfs que vous êtes.
Là par exemple, le temps de taper ces quelques lignes, j’ai réparé la portière d’une petite voiture, chanté joyeux anniversaire à un doudou et soufflé des bougies imaginaires, récupéré un vieux pop corn et une crotte de nez avant qu’ils ne soient gobés, expliqué au grand à quoi servent les globules rouges (à peu près, parce que l’hématologie, à 4 ans, c’est pas facile), fait un bisou sur un bobo, répété environ 10 fois « non, on ne mangera pas de frittes et de burgers ce soir » et 50 fois « oui chéri, tout à l’heure ».
Avoir des enfants, l’école de la patience (ou de la lobotomie)
J’ai bien pensé à quelques aménagements pour les inclure dans mes taches quotidiennes
Mais au final, je me dis que c’est mon super pouvoir : je multitâche grave
Et vous ?
Hahaha génial, c’est TROP ça. Sinon y a les repas aussi, dans le même genre.
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On les aime, nos enfants, pas vrai ?
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